Il semblerait que chaque conférence, webinaire et livre blanc organisé ou publié par le secteur de la conformité parle de l'IA et de son potentiel transformatif pour gérer les risques de criminalité financière.
Mais l'« IA » est un terme parapluie qui renvoie à tout un ensemble de technologies et, surtout, à des applications pratiques que les établissements financiers sont en train d'évaluer. Chez ComplyAdvantage, nous observons des cas d'utilisation et des défis qui concernent généralement les trois domaines que sont les performances, l'explicabilité et la réglementation.
En s'appuyant sur les données de notre enquête globale réalisée auprès de 600 responsables de la conformité, les établissements peuvent évaluer la manière dont ils approchent les technologies fondées sur l'IA pour se conformer à la réglementation sur la lutte contre la criminalité financière dans ces trois domaines.
Performances
89 %
En raison de la complexité croissante de la criminalité financière qui ne cesse d’augmenter, faire plus sans investir dans davantage de ressources est une priorité majeure…
Mais comment mesurer cela par rapport aux attentes des autorités de réglementation et des clients ?
Les responsables de la conformité identifient différentes parties prenantes auxquelles ils pensent devoir démontrer en priorité les décisions prises par les systèmes fondés sur l'IA. Ce manque de ciblage reflète l'importance de chaque groupe et de l'interconnectivité.
Des clients mécontents pourraient notamment être mentionnés d’une façon négative dans la presse, ce qui attirerait davantage l'attention du Conseil d'administration de l'établissement et des autorités de régulation.
Explicabilité
À quelles parties prenantes pensez-vous pouvoir expliquer en priorité les décisions de votre établissement et/ou les résultats des solutions de lutte contre la criminalité financière fondées sur l'IA ?
Clients(entrée en relation d'affaires, accès à de nouveaux produits/services,...)
53 %
Auditeurs (en démontrant notamment le travail réalisé sur un cas)
40 %
Collaborateurs internes (autres membres de l'équipe Conformité,...)
53 %
Conseil d'administration (en démontrant notamment la rentabilité de cette approche)
52 %
Investisseurs potentiels
(en mettant notamment en avant le caractère novateur ou l'efficacité de cette approche)
51 %
Autorités réglementaires (en démontrant par exemple la conformité)
51 %
Réglementation
68 %
des responsables de la conformité déclarent avoir une « bonne compréhension » de la réglementation de l'IA dans la principale juridiction où leur établissement est implanté.
Cependant, tandis que certains établissements nous déclarent trouver sans peine un certain niveau de compromis en matière d'explicabilité, les autorités de réglementation ont adopté une approche différente :
Aux États-Unis, l'administration Biden a intégré le document ‘Avis et Explication’ au cœur de sa « Déclaration des droits » de l'IA : « Vous devez savoir qu'un système automatisé est utilisé et comprendre comment et pourquoi ses résultats vous impactent. »
L'Autorité monétaire de Singapour a déclaré que pour renforcer la confiance du public, l'utilisation de l'IA et de l'analyse des données « doit être révélée aux personnes concernées dans le cadre de la communication générale. »
59 %
« être très bien préparés »
39 %
« être préparés en partie »
Aussi, lorsque les établissements sont interrogés sur leur niveau de préparation face à l'évolution de la réglementation concernant l'utilisation de l'IA, ils déclarent à
Téléchargez l’État de la criminalité financière en 2024
Téléchargez le guide complet
… faut-il donc craindre une déconnexion qui pourrait devenir un point de tension en 2024 ?
Découvrez en détail les tendances et les défis qui, selon nos experts, marqueront l'année 2024, sur la base d'une enquête menée auprès de 600 hauts dirigeants du secteur de la lutte contre la criminalité financière.
Démythifier l'IA pour la LCB :
performances, explicabilité et réglementation
États-Unis
Singapour
des responsables de la conformité sont prêts à sacrifier l’explicabilité au profit de l’automatisation et de performances supérieures.
En s'appuyant sur les données de notre enquête globale réalisée auprès de 600 responsables de la conformité, les établissements peuvent évaluer la manière dont ils approchent les technologies fondées sur l'IA pour se conformer à la réglementation sur la lutte contre la criminalité financière dans ces trois domaines.
Il semblerait que chaque conférence, webinaire et livre blanc organisé ou publié par le secteur de la conformité parle de l'IA et de son potentiel transformatif pour gérer les risques de criminalité financière.
Mais l'« IA » est un terme parapluie qui renvoie à tout un ensemble de technologies et, surtout, à des applications pratiques que les établissements financiers sont en train d'évaluer. Chez ComplyAdvantage, nous observons des cas d'utilisation et des défis qui concernent généralement les trois domaines que sont les performances, l'explicabilité et la réglementation.
En s'appuyant sur les données de notre enquête globale réalisée auprès de 600 responsables de la conformité, les établissements peuvent évaluer la manière dont ils approchent les technologies fondées sur l'IA pour se conformer à la réglementation sur la lutte contre la criminalité financière dans ces trois domaines.
89 %
Performances
Explicabilité
En raison de la complexité croissante de la criminalité financière qui ne cesse d’augmenter, faire plus sans investir dans davantage de ressources est une priorité majeure…
Mais comment mesurer cela par rapport aux attentes des autorités de réglementation et des clients ?
Les responsables de la conformité identifient différentes parties prenantes auxquelles ils pensent devoir démontrer en priorité les décisions prises par les systèmes fondés sur l'IA. Ce manque de ciblage reflète l'importance de chaque groupe et de l'interconnectivité.
Des clients mécontents pourraient notamment être mentionnés d’une façon négative dans la presse, ce qui attirerait davantage l'attention du Conseil d'administration de l'établissement et des autorités de régulation.
Auditeurs (en démontrant notamment le travail réalisé sur un cas)
40 %
Autorités réglementaires (en démontrant par exemple la conformité)
51 %
Investisseurs potentiels (en mettant notamment en avant le caractère novateur ou l'efficacité de cette approche)
51 %
Conseil d'administration (en démontrant notamment la rentabilité de cette approche)
52 %
Collaborateurs internes (autres membres de l'équipe Conformité,...)
53 %
Clients (entrée en relation d'affaires, accès à de nouveaux produits/services,…)
53 %
À quelles parties prenantes pensez-vous pouvoir expliquer en priorité les décisions de votre établissement et/ou les résultats des solutions de lutte contre la criminalité financière fondées sur l'IA ?
68%
des responsables de la conformité déclarent avoir une « bonne compréhension » de la réglementation de l'IA dans la principale juridiction où leur établissement est implanté.
Réglementation
Cependant, tandis que certains établissements nous déclarent trouver sans peine un certain niveau de compromis en matière d'explicabilité, les autorités de réglementation ont adopté une approche différente :
Aux États-Unis, l'administration Biden a intégré le document ‘Avis et Explication’ au cœur de sa « Déclaration des droits » de l'IA : « Vous devez savoir qu'un système automatisé est utilisé et comprendre comment et pourquoi ses résultats vous impactent. »
États-Unis
L'Autorité monétaire de Singapour a déclaré que pour renforcer la confiance du public, l'utilisation de l'IA et de l'analyse des données « doit être révélée aux personnes concernées dans le cadre de la communication générale. »
Singapour
« être préparés en partie »
39 %
« être très bien préparés »
59 %
Aussi, lorsque les établissements sont interrogés sur leur niveau de préparation face à l'évolution de la réglementation concernant l'utilisation de l'IA, ils déclarent à
Découvrez en détail les tendances et les défis qui, selon nos experts, marqueront l'année 2024, sur la base d'une enquête menée auprès de 600 hauts dirigeants du secteur de la lutte contre la criminalité financière.
Téléchargez l’État de la criminalité financière en 2024
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Il semblerait que chaque conférence, webinaire et livre blanc organisé ou publié par le secteur de la conformité parle de l'IA et de son potentiel transformatif pour gérer les risques de criminalité financière.
Mais l'« IA » est un terme parapluie qui renvoie à tout un ensemble de technologies et, surtout, à des applications pratiques que les établissements financiers sont en train d'évaluer. Chez ComplyAdvantage, nous observons des cas d'utilisation et des défis qui concernent généralement les trois domaines que sont les performances, l'explicabilité et la réglementation.
En s'appuyant sur les données de notre enquête globale réalisée auprès de 600 responsables de la conformité, les établissements peuvent évaluer la manière dont ils approchent les technologies fondées sur l'IA pour se conformer à la réglementation sur la lutte contre la criminalité financière dans ces trois domaines.
En raison de la complexité croissante de la criminalité financière qui ne cesse d’augmenter, faire plus sans investir dans davantage de ressources est une priorité majeure…
Mais comment mesurer cela par rapport aux attentes des autorités de réglementation et des clients ?
Les responsables de la conformité identifient différentes parties prenantes auxquelles ils pensent devoir démontrer en priorité les décisions prises par les systèmes fondés sur l'IA. Ce manque de ciblage reflète l'importance de chaque groupe et de l'interconnectivité.
Des clients mécontents pourraient notamment être mentionnés d’une façon négative dans la presse, ce qui attirerait davantage l'attention du Conseil d'administration de l'établissement et des autorités de régulation.
des responsables de la conformité sont prêts à sacrifier l’explicabilité au profit de l’automatisation et de performances supérieures.
L'Autorité monétaire de Singapour a déclaré que pour renforcer la confiance du public, l'utilisation de l'IA et de l'analyse des données « doit être révélée aux personnes concernées dans le cadre de la communication générale. »