Meilleure
adresse
DE friture
Crises internationales, crise écologique, crise économique… On ne peut pas dire que ça baigne dans l’huile en ce moment. Et que font les cuistots ? Ils remettent la friteuse au centre de la cuisine
et y jettent porc pané à la japonaise, ailes de poulet
à la coréenne, pâte à beignet américaine… Pas de hasard mais une vraie tendance, celle de proposer des plats régressifs, replets et rassurants ;
des plaisirs plaidant coupable. La friture comme remède à la gueule de bois de l’époque ?
paris
Dans cette petite échoppe nippone, Sho Miyashita déploie son art de l’agemono, la friture à la japonaise. Toute la carte passe par la case huile bouillante : tonkatsu (porc pané), karaage (poulet frit), tempura de daurade ou de légumes, mais aussi cubes de tofu ou, plus étonnant, tronçons de camembert comme une peinture (à l’huile) de l’amitié franco-japonaise.
Haikara
Balthus Levin, ex du Servan, et Alexandre Slama, informaticien défroqué, ont trouvé ce drôle de coin de 11e pour ouvrir leur couloir béton et carrelage d’inspi 70’s. Une adresse où laisser libre cours à leur monomanie du poulet frit. Le volatile est servi en blanc ou en pilon dument habillé d’une panure bien croustillante ; et surtout, il s’accompagne de sauces maison bonnes à marier comme cette mayo pimentée au chipotle. Pas de complexe du dip ici.
Buck
On doit cette bijouterie à donuts intimidante comme une salle des coffres monégasque à Thomas Bellego, passé par des grandes maisons de la mode, et Raamin Samiyi, ancien chef pâtissier de tables gastronomiques. Pour usiner ces Rolls du beignet, le chef utilise de la pâte au levain, une friture dans l’huile de coco pour plus de légèreté et des parfums délicats comme huile d’olive et la lavande, yuzu et thym frais… Une expérience !
Momzi
Il se trouve ici, le noyau dur parisien du poulet frit à la coréenne (dakgangjeong en VO). Dans une salle dépouillée comme une cellule de moine, on déguste des assiettes de réconfort pané ultra crousti et nappé de sauce comme là-bas. A accompagner de brochettes de tteok, ces saucisses de riz gluant frites. Car le frit, c’est la vie.
Olive Chicken
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À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.
En partenariat avec Pernod Ricard
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à la coréenne, pâte à beignet américaine… Pas de hasard mais une vraie tendance, celle de proposer des plats régressifs, replets et rassurants ; des plaisirs plaidant coupable. La friture comme remède à la gueule de bois de l’époque ?
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Sho Miyashita déploie son art de l’agemono, la friture à la japonaise. Toute la carte passe par la case huile bouillante : tonkatsu (porc pané), karaage (poulet frit), tempura de daurade ou de légumes, mais aussi cubes de tofu ou, plus étonnant, tronçons de camembert comme une peinture (à l’huile) de l’amitié franco-japonaise.
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Il se trouve ici, le noyau dur parisien du poulet frit à la coréenne (dakgangjeong en VO). Dans une salle dépouillée comme une cellule de moine, on déguste des assiettes de réconfort pané ultra crousti et nappé de sauce comme là-bas. A accompagner de brochettes de tteok, ces saucisses de riz gluant frites. Car le frit, c’est la vie.
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On doit cette bijouterie à donuts intimidante comme une salle des coffres monégasque à Thomas Bellego, passé par des grandes maisons de la mode, et Raamin Samiyi, ancien chef pâtissier de tables gastronomiques. Pour usiner ces Rolls du beignet, le chef utilise de la pâte au levain, une friture dans l’huile de coco pour plus de légèreté et des parfums délicats comme huile d’olive et la lavande, yuzu et thym frais… Une expérience !
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Balthus Levin, ex du Servan, et Alexandre Slama, informaticien défroqué, ont trouvé ce drôle de coin de 11e pour ouvrir leur couloir béton et carrelage d’inspi 70’s. Une adresse où laisser libre cours à leur monomanie du poulet frit. Le volatile est servi en blanc ou en pilon dument habillé d’une panure bien croustillante ; et surtout, il s’accompagne de sauces maison bonnes à marier comme cette mayo pimentée au chipotle. Pas de complexe du dip ici.
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